Les dix bus de la société de Transports du Congo (Transco) sont arrivés en bon état à Kananga, chef-lieu de la province du Kasaï central, contrairement à la campagne de sape menée par des personnes mal intentionnées à travers les réseaux sociaux.
Maître Chief Tshipamba, directeur général de cette société, a coupé court à cette entreprise maléfique en apportant un démenti formel.
« Je suis personnellement à Kananga. Les dix bus qui constituent mon convoi, les jeeps de services de mes deux directeurs techniques, la jeep de la sécurité et ma jeep de commandement sont bel et bien à Kananga. Les 10 bus sont arrivés sans même une crevaison. Ils sont arrivés en bon état », a éclairé le DG.
Pour Chief Tshipamba, les auteurs de ces fausses informations ne sont pas différents de ceux qui agressent le pays.

« Il ne faut pas seulement chercher les ennemis de la République au Rwanda. Ils sont également parmi nous. J’ai emmené les bus à Kananga sans incident, sans égratignure », a-t-il ajouté.
Abordant la question de l’état des routes de la ville de Kananga, le patron de Transco a souligné qu’il n’a rien à voir avec celui que présentent les auteurs de la campagne de diabolisation.
« Les routes de Kananga sont praticables. D’ailleurs, Kananga a été prévu d’être la capitale de la RDC. La ville de Kananga est urbanisée autant que la ville de Lubumbashi et Kisangani. Ce sont les images des réseaux sociaux qui désinforment », a-t-il réagi.
Quant à la population de Kananga, bénéficiaire de ces moyens de transport, elle a exprimé sa joie en accueillant avec pompe la délégation conduite par le boss de Transco. Partis de Kinshasa, les dix bus Transco ont emprunté la voie routière pour atteindre Kananga.
Du canard boiteux à la vache à lait, Transco suscite la convoitise
Il a fallu l’arrivée de Me Chief Tshipamba pour voir la société Transco renaître de ses cendres. Aussitôt arrivé, ce digne fils du pays nommé directeur général a.i a préalablement réussi à mettre fin à la grève en apurant tous les arriérés de salaire du personnel, avant d’améliorer les conditions sociales des travailleurs.
Des bus neufs sont venus en renfort au charroi pour desservir aussi bien la ville de Kinshasa que l’intérieur du pays. Kongo-Central, Kasaï, Sud-Ubangi, Kikwit… tous ces coins ont accueilli, comme dans un rêve, des bus Transco.
Naturellement, cela n’enchante pas les ennemis du développement de la République démocratique du Congo qui tiennent à tout prix à nuire au patron de Transco et le faire partir de cette société.
Ils ignorent que l’homme se bat bec et ongles pour que cette structure soit aujourd’hui une vache à lait, au bénéfice du peuple.
Tenez! Il lui arrive régulièrement de prendre le volant, manches retroussées, pour faire le transport comme tous les autres conducteurs.
C’est une manière pour lui de matérialiser la vision du chef de l’État, « Le peuple d’abord ». Et partout où il passe, la population dit merci au président Félix Tshisekedi d’avoir placé à la tête de cette entreprise quelqu’un qui incarne sa vision.
C-RA