La récente décision du ministre de la Justice, Constant Mutamba, de libérer plus de 1500 prisonniers malades de la prison de Makala, à Kinshasa, soulève des interrogations légitimes sur la responsabilité de l’État face à la justice et à la sécurité des citoyens.
Si l’objectif de réduire le surpeuplement des prisons et de fournir des soins médicaux aux détenus est louable, il ne doit pas se traduire par une action populiste aux conséquences désastreuses.